D’autres études sur la relation entre le DDT et le cancer du sein ont évalué le risque pour une exposition tard dans la vie des femmes et lorsque l’exposition à la substance était déjà plus faible du fait de son interdiction plusieurs années auparavant. Pour les auteurs, l’enjeu en matière de santé se situe pour des femmes exposée à des doses plus fortes à des moments où la vulnérabilité de la glande mammaire était plus élevée (chez les jeunes femmes)