L’étude de Cohn et al. s’intéresse au moment où l’exposition au DDT pour les femmes aurait dû être la plus critique. C’est à dire à une période où il était encore très utilisé et présent dans l’environnement et où les jeunes femmes étaient les plus exposées d’un point de vue biologique (pendant le développement de la glande mammaire. Les autres études s’intéressent, selon l’auteur à des femmes moins vulnérables et à des expositions moins soutenus car plus tardives par rapport aux lois qui ont interdit l’usage du DDT.