La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force réside principalement dans le fait qu’ils ont mis en évidence une exposition au p,p’-DDT, très tôt, ce qui leur a permis d’obtenir une meilleure caractérisation de l’exposition en dosant le composé actif assez près de la période d’exposition. Ce qui pourrait augmenter le risque de cancer du sein à travers des échantillons sanguins prélevés chez les jeunes femmes de 1959 à 1967.