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Sujet : Bioindicateurs de l’exposition

R�pondu le jeudi 6 janvier 2022 par Sancesario Manon

La principale différence de l’étude de Cohn et al. s’articule autour du moment choisi pour effectuer prélèvements sanguins. En plus de choisir d’étudier un intervalle de sensibilité précis, les auteurs ont cherché à situer temporellement la période qui devrait être la plus critique en termes d’impact d’exposition. Le but était de voir si l’utilisation d’échantillons de sang obtenus avant l’interdiction du DDT et en parallèle au moment où leur utilisation était à son apogée, confirmait des hypothèses.
D’autant plus que les auteurs indiquent qu’il manquait fortement d’informations à ce sujet puisqu’une seule étude était basée sur des échantillons collectés pendant les années d’utilisation intensive du DDT tandis que les autres avaient été menées bien après.

Les arguments biologiques qui constituent sa force révèlent une meilleure conception de l’étude puisqu’elle a pris en compte d’autres paramètres : le choix de l’indicateur le plus fiable en fonction des caractéristiques lipophiles, de la concentration ; et aussi en fonction des autres paramètres extérieures comme l’alimentation de la personne étudiée, son environnement de vie.


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