La particularité de l’étude de Cohn et al est l’utilisation des métabolites du DTT comme bioindicateurs de l’exposition (le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT), ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE).
Les arguments biologiques en faveur de la force de l’étude est le prélèvement sérique précoce, proche de la période d’exposition qui renforce la fiabilité des résultats obtenus.