la principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force fait qu’au-delà de démontrer les risques liés à l’usage du DDT, il essai de montrer que les sujets exposé à jeune âge peuvent développer des risques de cancer du sein. Toutefois, il ne peut le démontrer en raison du fait que les sujets étudiés n’ont pas encore 50 ans.
L’intérêt est surtout de prévenir des dommages que le cancer du sein peut provoquer chez les sujet jeune à risque, sans attendre que la probabilité soit prouvée.