La plupart des autres études sur le même sujet ont consisté à mesurer le taux de DDT (les principaux composants) alors que les cas étaient d’âge moyen ou avancé et bien après que les expositions soient importantes.
L’étude de Cohn et al, a permis d’étudier des cas jeunes avant pendant et après la période d’exposition maximale au DDT, c’est à dire en optimisant les "facteurs de réussite" de l’étude par rapport aux hypothèses et suppositions du risque.