La principale différence de l’étude de Cohn et al est que le sang est prélevé chez de jeunes femmes ( moyenne d’age 26) et non chez des femmes en âge avancé qui ont généralement une activité hormonale relativement diminuée, ce qui en soi est original car à cet âge là (26 ans en moyenne), les glandes stéroïdes connaissent une activité idéale, ce qui permet d’observer avec acuité d’éventuels effets de xénobiotiques sur leurs organes cibles.