L’étude de Cohn repose sur des échantillons sanguins pris entre 1959 à 1967 sur des femmes âgées en moyenne de 26 ans, classés par années et lieux de prélèvement. Entre 74% et 78% des sujets ne vivaient pas dans une ferme, mais en ville : ce facteur de risque peut donc toucher n’importe qui, d’où l’importance de l’impact sanitaire. Cette étude permet de corréler l’historique d’une substance (persistante dans l’environnement et l’organisme) à un âge d’exposition : comparaison par âge (<4 ans, entre 4 et 7 ans, 8 et 13 ans...) et par exposition ou non au DDT en fonction des dates de naissance.