Des nouvelles formes d’expositions aux formes plus fines et plus courtes des fibre d’amiante. Cela implique des nouvelles méthodologie de mesures dans les milieux professionnels et environnementaux, et de déterminer les seuils admissibles relatifs. Des zones amiantiferes bien précis avec les taux de mésothéliomes sont des donnes indispensables pour mieux gérer le risque au niveau national.