Les nouvelles circonstances d’exposition concernent ce qu’on appelle, l’amiante environnementale, les affleurements naturels, comme c’est le cas pour la Nouvelle Callédonie avec la trémolite utilisé dans les constructions.
Les mesures de gestion de risques possibles doivent comprendre dans un premier temps le récensement de ces affleurements et une évaluation des risques qui doit aboutir à une prise de décision en terme d’information de la population, de sensibilisation et si nécessaire une relocalisation.
L’amiante à fibres courtes dans des bâtiments publics constitue une autre forme d’exposition. Dans ce cas, une confirmation de la toxicité est nécessaire pour départager les positions canadiennes et de l’OMS. Entre temps des mesures strictes de protection de la population doit être envisagée ainsi que des mesures pour la formation et la sensibilisation face au danger.