Oui, les résultats étaient attendus, car plus de 14 ans après l’interdiction de l’amiante dans le premier plan d’action français sur les risques sanitaires liés à l’exposition à l’amiante, qui avait interdit la substance en 1997, une expertise pour renforcer le propos proposé, même s’il apporte de nouveaux éléments de différents types d’amiante considérés comme potentiellement cancérigènes. Les éléments notables sont la fixation de seuils d’exposition, ainsi que la VLE, qui a été revue à la baisse, mesure qui n’est pas conforme aux recommandations de l’interdiction.