Tout d’abord, il faut noter que cette première limite de 500ppm avait été adoptée arbitrairement par l’industrie elle-même sans une étude particulière faite au préalable. Le produit était relativement nouveau et les connaissances scientifiques sur le sujet très limitées. Une fois les études réalisées et publiées, le niveau toléré a été revu à la baisse en référence aux preuves claires des résultats d’expositions obtenus.