Lefaux (1968) et Baretta (1969) ont validé le seuil de 500 ppm comme étant celui déclenchant une irritation des yeux et de l’appareil respiratoire supérieur. De plus, Baretta n’a de plus constaté aucune évolution des paramètre hépatiques mesurés dans le sang pour 4 humains exposés 7,5h à 500 ppm de CV définissant alors ce niveau comme la NOAEL.
Suite à la découverte de cancers hépatiques (1974) et des résultats obtenus par Viala et Al (1971), et compte tenu de la faible représentativité des résultats de Baretta (que 4 humains), l’OSHA a alors choisi de prendre un facteur de sécurité assez important pour sauvegarder la santé des travailleurs.