Bien avant les dispositions de l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm, les industriels reconnaissaient assez tôt que le la norme d’exposition de 500 ppm n’était pas suffisante. En 1959, un toxicologue de la firme Dow Chemical, V. K. Rowe, en a fait la remarque à son holologue de la firme B. F. Goodrich.
Il a fallu attendre la publication du rapport de Maltoni pour que l’industrie prenne conscience que des
cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par des expositions de 250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers.Ce qui expliquerait la reconnaissance officielle tardive du risque.