Cela peut s’expliquer par le fait que les normes assez permissives, généralement établies assez tôt par exemple vers les années 1975, reflètent le risque de survenue de pathologies aiguës, en cas d’expositions massives. La reconnaissance officielle du risque chronique liée à cette exposition est bien plus tardive. La caractère carcinogène s’inscrit dans ce contexte et intervient à des doses beaucoup plus faibles.