L’ancienne norme (500 ppm) tenait compte des informations disponibles à l’époque à savoir :
toxicité aiguë
seuil olfactif
inflammabilité,...
Les avancées technologiques en matières d’analyses, de prélèvements, les progrès de la toxicologie, la prise en compte des effets chroniques ont permis de ramener la valeur réglementaire à 1 ppm.