c’est le cas du britannique RICHARD DOLE missionné par l’industrie du CV. Après ses études, il trouve que l’excès de risque de cancer du cerveau qu’il a obtenu est "statistiquement non significatif"et en plus minimise le risque de cancer dans tous le sites autres que le foie ; pourtant les études antérieures montrait clairement que l’exposition au CV serait cancérogène pour le cerveau, les poumons, le foie, les lymphomes et autres hémopathies.