Il s’agit des études mené par épidémiologique britannique Richard Dole engager par l’industrie missionne pour revoir les données épidémiologiques concernant le CV.
Il rapporte les résultats qu’il obtient comme « statistiquement non significatif », ajoutant que « rien ne suggère que l’origine [de cet excès] est professionnelle » (Doll 1988). Doll minimise le risque de cancer pour tous les sites autres que le foie en concluant : « La mortalité des hommes exposés, en dehors de celle due aux angiosarcomes du foie, est typique de l’ouvrier normalement sain ; cela n’exclut pas d’autres risques, mais leur effet est faible ».