Dans le texte on cite le biais de diagnostic, c’est-à-dire la présomption d’un meilleur suivi et diagnostic dans les travailleurs de l’industrie exposés quotidiennement au CV, que dans la population générale, donc l’impossibilité de comparer les données et de considérer les décès des ouvriers comme indicatif. Cette affirmation n’est, naturellement, pas correcte : il s’agit, encore une fois, d’une tentative de discréditer des études démontrant la toxicité du CV.