Le contexte d’étude est idéal, car le cas (jumeau 1) et le témoin (jumeau 2) sont génétiquement très proche, ce qui facilite l’étude permet de limiter les biais cognitifs. Ainsi, comme le souligne la présente étude, il est d’autant plus facile d’axer les études sur les facteurs environnementaux et donc de faire le lien entre exposition environnementale et apparition de la maladie.