Nous avions vu précédemment qu’il existe une capacité naturelle d’absorption de la pollution par la nature elle même. Pourquoi la suite de l’argumentaire ne prend t-elle pas en compte cet état de chose ? Ainsi, l’origine de la courbe de pollution ne serait plus le point O, mais plutôt un certain point légèrement plus haut sur l’axe des ordonnées