Les services rendus par les actifs naturels n’ont généralement pas de prix, car, faute de droits de propriété clairement établis, ils ne peuvent pas faire l’objet de transactions sur un marché. Et pourtant, une augmentation ou une diminution de leur qualité (ou de leur flux) affecte l’utilité (ou encore le « bien-être ») des individus, qui peut être exprimée monétairement.
Objectifs du cours : expliquer comment la théorie du consommateur -via l’analyse de son surplus- constitue l’outil conceptuel le mieux adapté pour exprimer en grandeur monétaire le gain (respectivement la perte) de bien-être d’un individu associé à une amélioration (respectivement une détérioration) de la qualité d’un service rendu par un actif naturel.