Selon qu’il s’agit de données humaines ou animales les coefficients d’incertitudes ne seront pas les mêmes, d’où une influence sur le calcul de la DJA.
Selon qu’il s’agit de données humaines ou animales les coefficients d’incertitudes ne seront pas les mêmes, d’où une influence sur le calcul de la DJA.
La connaissance du type de données est nécessaire du fait de la différence inter et intra spécifique, de la sensibilité individuelle, de la voie d’exposition qui peuvent donner lieu à des variations
non, les études expérimentales réalisées sur les cultures de cellules, sur les animaux, la transposition à un être humain tient compte des incertitudes en intégrant des facteurs correctifs. Le type de données utilisées n’a pas donc d’importance.
Pour chaque types de données humaines ou animales, les coefficients d’incertitude ne s’appliquentpas de la même façon.
parce que le type de donnees permet de definir les doses critiques et seuil
En effet, car l’extrapolation des modèles expérimentaux à l’être humain n’est pas automatique. Il faudra tenir compte des coefficients d’incertitude dans chacun des cas.
Oui, Les coefficiants d`incertitudes en seront pas de la même façon, alors il y aura l`influence sur le calcult de DJA
La dose journalière admissible est obtenue à partir des données fournies par l’expérimentation animale
non parce pour chaque types de données humaines ou animales, les coefficients d’incertitude ne s’appliquentpas de la même façon.
La relation dose-effet permet d’obtenir une courbe, classiquement en forme de S (parfois en forme de U), avec une moyenne autour de laquelle la variabilité de réponse se distribue et qui détermine la mesure de la dispersion. La pente de la courbe nous fournit les informations concernant le taux d’accumulation d’effets toxiques. Il est fondamental considérer que, dans la réalité des analyses toxicologiques, la courbe représente le résultat des études expérimentales, donc déduits d’expositions d’une certaine dose par unité de temps, in vivo ou in vitro.
Oui car pour établir une DJA il faut un facteur de correction(facteur d’incertitude) qui permet de passer du modèle animal au modèle humain.
Oui en effet car le produit des incertitudes sera différent suivant que les données sont issues de l’animal ou de l’humain. Le résultat DJA sera donc impacté en fonction de ce produit d’incertitudes.
La dose journalière admissible est élaborée avec des facteurs de corrections, notamment lorsqu’il s’agit de transposer les résultats sur des animaux à l’homme.
l’incertude varie en fonction des espèces.
La compréhension de "relation dose-effet", souvent complexes, est encore lacunaire. Elle est pourtant essentielle, et fait pour cette raison l’objet d’efforts de recherche. dans les domaines de la biostatistique, de la toxicologie, de la pharmacologie, de la médecine (en particulier pour les neurosciences, l’immunologie, l’épidémiologie, la médecine du travail, la santé environnementale, la santé reproductive, la radiobiologie, la médecine vétérinaire…).
Non, il suffit de se rassurer que lors de extrapolation de l’animal à l’homme, les facteurs d’incertitude ont été prise en compte.
Cela est possible car si l’expérience est fait sur un animal ou chez un humain il existe des coefficient d’incertitudes ( 10 ) qui permettent de déterminer le risque admissible en passant de l’animal à l’homme
Oui, la marge de sécurité sera différent si les données sont animales ou humaines
Pour chaque type de données humaines ou animales, les coefficients d’incertitude ne s’appliquentpas de la même façon.
Oui, car les résultats de la DJA seront ajustés par des facteurs de sécurité (produit des coefficients d’incertitudes) qui diffèrent selon la variabilité de la sensibilité interindividuelle, interspécifique, la durée d’exposition, etc.
Les coefficients d’incertitudes ne seront pas les mêmes, d’où une influence sur le calcul de la DJAS si on parle de données humaines ou animales(variable)
Le calcul de la DJA c’est le rapport entre la DSENO et le coefficient d’incertitude. Comme les coefficients d’incertitudes différent selon le type d’espèce (animales, humains) alors cette différence influencera aussi sur le calcul de la DJA
Oui parce que DJA est obtenu en divisant DSENO par un facteur quelconque
Le calcul de la DJA pour l’homme est basé sur le seuil maximum de consommation au delà duquel les premiers effets toxiques sont observables.Ce seuil est appelé dose sans effet
Elle nécessite la connaissance de la VTR
Selon qu’il s’agit de données humaines ou animales les coefficients d’incertitudes ne seront pas les mêmes,d’où une influence sur le calcul de la DJA.
Selon qu’il s’agit de données humaines ou animales les coefficients d’incertitudes ne seront pas les mêmes, d’où une influence sur le calcul de la DJA.
Le coefficient d’incertitude ne sera pas le même pour l’animal et l’humain. C’est pour cela qu’il est important d’avoir la DJA qui sera différente si c’est un animal ou un humain.
Oui, pour des raisons éthiques (surtout depuis le procès de Nuremberg), l’expérimentation sur l’homme est bien encadrée : il n’est évidemment pas question d’exposer délibérément un groupe de personnes pour étudier les effets d’un xénobiotique aux fins de recherches biomédicales . On utilise donc comme sujets d’expérience des animaux ; Elle permet de récolter de précieuses informations sur la toxicité aigüe, la toxicité subaiguë et la toxicité subchronique.
En effet ;quand les animaux grandissent et prennent du poids ;si on continue à leur donner la même dose nominale ;on abaisse le ratio/poids .il peut en outre arriver qu’un animal n’ingère qu’une partie de la dose dissimulée dans sa nourriture ou renverse de l’eau au dehors de sa soucoupe ; Donc les expérimentateurs pèsent la dose effectivement reçue.
La relation dose-effet est la relation entre la dose et l’effet à l’échelle de l’individu. L’augmentation de la dose peut accroître l’intensité ou la sévérité d’un effet. Une courbe dose-effet peut être tracée pour l’ensemble de l’organisme, la cellule ou la molécule cible. Certains effets toxiques, comme la mort ou le développement d’un cancer, n’ont pas un caractère progressif : ils représentent des effets « tout ou rien ».
les coefficients d’incertitudes diffèrent
les coefficients d’incertitudes (le biais d’erreurs) n’étant pas les mêmes en fonction des données humaines ou animales existantes, de ce fait, on note une influence sur le calcul de la DJA..
Une valeur toxicologique de référence ou VTR sera extraite de l’étude de la relation dose-effet, la VTR établie à partir des données toxicologiques animales et/ou humaines, servira pour définir toutes les valeurs seuils applicables à différentes circonstances d’exposition, sous forme de préconisations ou de normes, adoptées dans le cadre de la gestion du risque
La notion de facteurs de sécurité a été introduite pour tenir compte des incertitudes qui pouvaient avoir un impact sur l’établissement des seuils d’exposition “acceptables”. Ainsi un ajustement allométrique inter espèce est recommandé.
Les coefficients d’incertitudes diffèrent pour l’animal et l’humain, alors il y aura l’influence sur le calcul de DJA, varie en fonction des espèces.
Pour la dose journalière admissible, la connaissance du type de données ayant servi à établir la relation dose-effet (animales, humaines) est une nécessite car, il n’existe pas de substance qui n’est pas toxique même celle dont l’organisme a besoin, « dosis sola facit venenum ». Toute est question de dose. Or le degré de l’exposition sans danger ne peut être estimé en dehors de la relation dose-effet. L’effet d’une substance chimique peut être varié en fonction de son intensité, du nombre d’individus affectés…. Seule la relation dose-effet nous permettra de cerner ce phénomène.
En effet, Penser la dose journalière admissible en dehors desdites données me parait pas « cohérent ».
Oui, lors d’une évaluation de dangerosité de la substance, il est important de prendre en considération plusieurs phénomènes, pour établir la relation dose-réponse soit nocifs ou pas ,on doit prendre en considération la morphologie, la physiologie, la croissance, le développement ou la durée de vie d’un organisme, résultant d’une détérioration de la capacité fonctionnelle ou de la capacité de compenser un stress additionnel ou une augmentation de sensibilité.
Cette valeur n’est pas transposable de l’animal à l’humain.
Car les coefficients d’incertitudes varient de l’animal à l’homme
pour le passage de l’animal à l’homme pour obtenir les VTR il faudrait diviser les NOAEL ou LOAEL par le produit de facteurs correctifs, introduits au titre des différentes sources d’incertitude identifiées.
La combinaison de données provenant d’études animales et humaines permet d’obtenir une compréhension plus complète de la relation dose-effet, et permet de faire des estimations de risque pour guider la réglementation et la protection de la santé humaine et de l’environnement.