Les facteurs environnementaux inclus sont les parties (ou impacts) modifiables de :
la pollution de l’air, de l’eau, des sols, avec des agents chimiques ou biologiques ;
les rayonnements ionisants ou UV [1] ;
le bruit et les champs électro-magnétiques ;
les risques professionnels [2] ;
l’environnement bâti, y compris le milieu intérieur, l’urbanisme, le réseau routier ;
les techniques agricoles ou d’irrigation ;
les modifications climatiques et les altérations des écosystèmes dues à l’homme ;
les comportements liés à la disponibilité de l’eau potable et d’assainissement, tels que se laver les mains ou contaminer les aliments avec une eau souillée.
Les facteurs environnementaux exclus sont :
la consommation d’alcool, de tabac et l’abus des drogues ;
l’alimentation, quoique il peut être argumenté que la disponibilité des aliments influence le régime ;
l’environnement naturel des vecteurs de maladies infectieuses qui ne peut être raisonnablement modifié (cours d’eau, lacs, zones humides) ;
le chomage, à condition qu’il ne soit pas lié à la dégradation de l’environnement ou des maladies professionnelles ;
des agents biologiques naturellement présents (présence de pollens dans l’air extérieur) ;
la transmission d’un individu à l’autre qui ne peut être prévenue par des interventions environnementales comme l’amélioration de l’habitat, l’introduction de règles sanitaires ou de sécurité en milieu professionnel, etc. ;