Si le risque n’est pas nul, le fait que la borne inférieure de l’intervalle de confiance soit 0, ne permet pas de conclure. En clair, si il y a un lien, il serait faible et difficile à mettre en évidence dans ce type d’étude.
Si le risque n’est pas nul, le fait que la borne inférieure de l’intervalle de confiance soit 0, ne permet pas de conclure. En clair, si il y a un lien, il serait faible et difficile à mettre en évidence dans ce type d’étude.
Est-ce qu’on ne doit pas prendre en compte l’intervalle de confiance dans la déduction d’un risque significatif ?
Car l’intervalle de confiance contient la valeur 1.
Ce risque ne semble pas significatif car la probabilité p (ou degré de signification) est supérieur à 0,05 (ou 5 %) : ici, p = 1.
Ce risque n’est pas significativement significatif, car la probabilité (ou degré de signification) p est supérieur à 0,05 (ou 5 %) : ici, p est égal à 1.
parce que l’intervalle n’est pas significatif
je réponds par non
je réponds par non.
L’intervalle de confiance traduit la précision statistique du résultat. On voit que l’intervalle de confiance traduit la valeur caractéristique de l’effet nul donc la différence n’est pas statiquement significative
il est difficile de mettre en évidence un lien statistique exacte pour évaluer le risque selon l’étude.
Non ce risque n’est pas statistiquement significatif.
Le risque n’est pas significatif car l’intervalle de confiance contient zéro.
Ce risque n’est pas significatif, car la probabilité p est supérieur à 0,05
oui car le taux trouvé 0.08 est compris dans l’intervalle de 0 et 28%
L’intervalle de confiance contient la valeur 1 de se fait par définition on sait que le risque n’est pas significatif mais possible.
Ce risque n’est pas significativement significatif, car la probabilité (ou degré de signification) p est supérieur à 0,05
hors interval significatif
non, ce risque n’est pas significatif.car l’intervalle de confiance est supérieur à 1.
Le risque n’est pas statistiquement significatif car le risque cumulé (10%) est supérieur au seuil de signification 5%.
Il est difficile de mettre en évidence un lien statistique exacte pour évaluer ce type de risque.
Le risques n’est pas nul alors il est statistiquement significatif mais difficile à mettre en évidence et compliquer à étudier dans ce cas vu la position de la borne inférieur.
La signification statistique assure que le résultat obtenu a de forte chance d’être réel et non pas d’être le fruit du hasard. Ici la concordance est de 0.08% donc Ce risque n’est pas statistiquement significatif car il y a une probabilité de 8%.
Le cancer est une maladie génétique dans laquelle le contrôle normal de la croissance cellulaire est perdu. Le mécanisme de base dans tous les cancers est la mutation,soit dans les cellules gérminales soit, beaucoup plus fréquemment, dans les cellules somatiques.
La prédisposition génétique ou l’hérédité permet d’inclure le risque aux freres et soeurs.Ainsi,plusieurs types de cancers sont à élucidés en termes de pourcentage
Non, un intervalle de confiance très large (à grande étendue) suggère souvent une faible précision. de plus une des borne (inférieur) est 0 (possibilité d’un risque nul).
Ce risque est aussi significatif car il n’est pas nul.
non, car d’autres cancers (ORL et lymphatique) ne sont pas héréditaires
mais ce risque n’est pas statisquement significatif
oui le risque est statistiquement significatif. Le risque augmente avec l’age
OUI ce risque est significatif si très grand échantillon
Le risque n’est pas nul, ce qui pourrait penser que le risque est significatif. Mais la présence de 0 comme borne inférieure ne permet pas de conclure avec certitude.
Le risque n’est certes pas nul mais la borne inférieure est égale à zéro ; ce qui laisse difficilement la possibilité de conclure sur la significativité du risque.
Le risque est certes nul mais la présence de 0 dans l’intervalle de confiance rend difficile la possibilité d’affirmer cela avec certitude.
Ce risque n’est pas significatif car la probabilité p( ou degré de signification) est inférieur à 0,05 ou 5 % :
Le risque n’est pas nul. Néanmoins, le fait que l’intervalle de confiance contienne 0 comme borne inférieure ne permet pas de conclure.
Non, ce risque n’est pas statistiquement significatif. En effet, l’intervalle de confiance doit être > ou = 5% (supérieure ou égale à 5 %). Hors, ce n’est pas le cas. D’après les études, ce n’est pas clair. Le nombre de personnes touchées par le cancer gastrique et dont la cause est héréditaire est faible par rapport au cancer gastrique dont les causes sont environnementales. Donc, parmi les facteurs de risque de cancer d’estomac, la littérature met en exergue la prédominance des régimes alimentaires trop salés et le tabagisme.
Par Stanley-Richard kemal VINCENT
Nous devons prendre en compte l’Intervalle de confiance qui est de 0, ce qui ne permet de pas de conclure. En d’autre terme on peut estimer qu’il est difficilement perceptible de donner une affirmation. Nous pouvons juste conclure que le lien sera probablement difficile à mettre en évidence de manière objective.
Pour une maladie multifactorielle comme le cancer, la quantification de la composante héréditaire n’est pas facile. L’analyse des familles se heurte à la faible puissance statistique pour les gènes récessifs ou ceux dont la pénétrance est faible. L’exposition à des facteurs environnementaux, voire même une variabilité génétique de susceptibilité par rapport aux facteurs de risque environnementaux, compliquent encore plus l’étude statistique. Le moyen le plus puissant pour estimer le facteur héréditaire, réside dans l’étude d’un grand nombre de jumeaux et la comparaison de l’incidence de cancers. Une telle étude portant sur quelques 45 000 couples de jumeaux (monozygotes et dizygotes) à partir des registres de Suède, Danemark et Finlande a été publiée en 2000. Il a été estimé que 29-50% des cancers de la prostate pourraient être dus à des facteurs héréditaires, ainsi que 10-48% des cancers colorectaux et 4-41% des cancers du sein. Si en moyenne 42% des cancers de la prostate s’expliquent par l’hérédité, nous ne connaissons avec certitude aucun gène de prédisposition. De même les mutations, dans l’ensemble rares, de BRCA 1 et 2 ne peuvent expliquer qu’une petite partie des cancers du sein.
Statistiquement ; Deux cancers du sein sur 3 se déclarent après la ménopause. Le cancer du sein se déclare de plus en plus jeune : 7% des femmes touchées ont moins de 40 ans, alors que ce chiffre était de 5,6% en 2002 (Société française de sénologie et de pathologie mammaire, octobre 2010). Une femme meurt d’un cancer du sein environ toutes les 53 minutes. Un cancer du sein détecté à un stade précoce est plus simple à traiter et comporte moins de risques de séquelles. Il permet de diminuer la mortalité de 25%.
La moitié des cancers sont décelés alors même qu’ils mesurent moins de 2 cm. Chaque année dans le monde, environ un million de cancers du sein sont diagnostiqués et 400000 femmes en décèdent. L’augmentation du nombre de cas touche surtout les femmes ménopausées, mais aussi et de plus en plus fréquemment, les femmes plus jeunes, c’est-à-dire âgée de 40 à 45 ans. Le cancer du sein reste au 1er rang des cancers en termes de fréquence (33,5% de l’ensemble des nouveaux cas de cancer) et 75% des cancers du sein se déclarent après 50 ans.
La maladie de Paget du mamelon est relativement rare, comptant pour 1 à 4% des tous les cancers du sein. Son pic d’incidence est observé dans la soixantaine (âge moyen : 57 ans).
Le risque est plus significatif dans les cancers prostate, sein, colorectal, car la concordance est plus haute
Nous devons prendre en compte l’Intervalle de confiance qui est de 0, ce qui ne permet de pas de conclure. En d’autre terme on peut estimer qu’il est difficilement perceptible de donner une affirmation. Nous pouvons juste conclure que le lien sera probablement difficile à mettre en évidence de manière objective.
Les études le confirment
oui, la concordance de cancer de l’estomac chez les mâles jumeaux étant de 0,08, ce qui signifie qu’il y aurait une probabilité de 8 pour cent que le jumeau identique d’un homme avec cancer de l’estomac ont en effet le même type de cancer.
le risque est très faible
Le risque n’est pas statistiquement significatif, cependant n’est pas anodin aussi.
Ces cancers sont liées à la mutation germinale du gène CDH1 dans la population générale, la fréquence présumée de la mutation du gène CDH1serait de 0.1% En France par exemple on estime une dizaine de familles réparties sur e territoire serait porteuse de la mutation du CDH1 dont celle que nous suivons qui est originair, ou bien selon les syndromes HNPCC « hereditary non polyposis colorectal cancer » ou le risque de développer un cancer d’estomac avant 70 ans est estimé à 20 %.
Ces cancers sont liées à la mutation germinale du gène CDH1 dans la population générale, la fréquence présumée de la mutation du gène CDH1serait de 0.1% En France par exemple on estime une dizaine de familles réparties sur e territoire serait porteuse de la mutation du CDH1 dont celle que nous suivons qui est originair, ou bien selon les syndromes HNPCC « hereditary non polyposis colorectal cancer » ou le risque de développer un cancer d’estomac avant 70 ans est estimé à 20 %.
Ces cancers sont liées à la mutation germinale du gène CDH1 dans la population générale, la fréquence présumée de la mutation du gène CDH1serait de 0.1% En France par exemple on estime une dizaine de familles réparties sur e territoire serait porteuse de la mutation du CDH1 dont celle que nous suivons qui est originair, ou bien selon les syndromes HNPCC « hereditary non polyposis colorectal cancer » ou le risque de développer un cancer d’estomac avant 70 ans est estimé à 20 %.
Le risque n’est pas nul, ce qui confirme que le risque est significatif mais la borne inférieure est égale à zéro ce qui laisse difficilement la possibilité de conclure avec certitude
On peut dire que le risque est significatif en vertu des statistiques des études sur les jumeaux : « (…) ces estimations indiquent que, parmi les divers facteurs constituant le risque total de cancer de l’estomac , les gènes héréditaires représentent 28% du risque (…) ».
Par contre, tenant compte des lacunes en connaissance du cancer héréditaire des chercheurs, une étude approfondie s’avèrerait nécessaire.
car les variabilités génétiques et les risques environnementaux compliquent les études statistiques.
non parce que La quantification de la composante héréditaire n’est pas facile.dans la mesure ou le génétique et l’environnement complique les études statistique. D’ou la notion de variabilité.
Non, le risque n’est pas significatif, car l’intervalle de confiance (0-28p100) peut être nul.
Les variabilités génétiques et les risques environnementaux compliquent les études statistiques.
tend qu’il s’agit d’un risque obligatoirement il est significatif
Sachant l’intervalle de confiance soit 0 ne nous permet pas de conclure.
du moment que il est supérieure a 0.
We found statistically significant effects of heritable factors, ranging from 27 percent to 42 percent, for colorectal, breast, and prostate cancer. These results are in agreement with those of most previous studies.14-16,43 Our model also revealed suggestive evidence of limited heritability of leukemia and of cancer of the stomach, lung, pancreas, ovary, and bladder, but the estimates did not reach statistical significance
Puisque, le risque n’est pas nul, cela est en faite très complexe. Porter des conclusion ne serait pas possible. Lorsque, on dit, c’est statistiquement significatif, on dit simplement qu’il est peu probable que l’effet observé soit dû au hasard. Mais cela n’est pas impossible. Le test statique est une évaluation de la réalité statique de la différence. comment s’y prendre avec une intervalle de confiance égale à 0 lorsque le risque n’est pas nul ?
A environ 10 %, ce risque est statistiquement significatif. il faudrait qu’il y ait une politique sanitaire très poussée pour contrecarrer ces genres de maladie. avec un tel pourcentage, il serait important de cesser l’utilisation de certains produits cancérogènes, mutagènes et perturbateurs endocriniens afin de contrôler le niveau du risque.
malgré que le risque n’est pas nul l’intervale de confiance reste grand
NON parce que la borne inférieure de l’intervalle de confiance est 0,
non ce risque ,n’est pas significatif statistiquement vue que la limite de l’intervalle de confiance est à 0 ici ce n’est pas le cas il c’est de 0.008. Donc une sorte de complexité et difficulté de définir la degré de risque via cette étude .
Le risque certes n’est pas nul, mais le fait que la borne inferieur de l’intervalle de confiance est égale à 0, on ne peut pas conclure.
Statistiquement ce risque n’est pas significatif
la réponse : oui , si il y a un lien, il serait faible et difficile à mettre en évidence dans ce type d’étude.
la réponse : non ; si il y a un lien, il serait faible et difficile à mettre en évidence dans ce type d’étude.
Selon les études réalisées sur des jumeaux, les données sur le cancer de l’estomac montre une concordance de 0,08 avec un intervalle de 0-28 %. Le risque de développer un cancer d’estomac n’est pas nul vu qu’il peut y avoir certaines prédispositions génétiques de l’ascendant par rapport a ses parents. Il existe des types de cancers (certains lymphomes par exemple) pour lesquels, on n’observe pas de lien. Le risque de cancer gastrique d’origine héréditaire, quoique faible, existe soit une prédisposition de 8% surtout chez les jumeaux monozygotes. Les antécédents de cancer gastrique dans l’arbre généalogique ou encore une prédisposition génétique accroissent le risque de développer un cancer de l’estomac.
Selon les études réalisées sur des jumeaux, les données sur le cancer de l’estomac montre une concordance de 0,08 avec un intervalle de 0-28 %. Le risque de développer un cancer d’estomac n’est pas nul vu qu’il peut y avoir certaines prédispositions génétiques de l’ascendant par rapport a ses parents. Il existe des types de cancers (certains lymphomes par exemple) pour lesquels, on n’observe pas de lien. Le risque de cancer gastrique d’origine héréditaire, quoique faible, existe soit une prédisposition de 8% surtout chez les jumeaux monozygotes. Les antécédents de cancer gastrique dans l’arbre généalogique ou encore une prédisposition génétique accroissent le risque de développer un cancer de l’estomac.
p supérieur à 0.05 car égal à 0.1
Non, ce risque n’est pas statistiquement significatif car la borne inférieur de l’intervalle de confiance est 0
Non ce risque n’est pas statistiquement significatif.
Des effets statistiquement significatifs des facteurs héréditaires ont été observés pour la prostate (42% du risque peut être attribuable aux facteurs héréditaires, intervalle de confiance 29-50%), le côlon et le rectum (35% ; intervalle de confiance de 95% : 10-48%) et le sein (27% ; intervalle de confiance à 95% : 4-41%).
Même s’il y’a un risque, il n’est pas significatif parce que l’intervalle de confiance contient zero
le résultat rentre dans l’intervalle
Pour déterminer si le risque de concordance de 0,08 pour le cancer de l’estomac dans l’étude des jumeaux est statistiquement significatif, il est nécessaire de prendre en compte l’intervalle de confiance associé à cette estimation.
Dans ce cas, l’intervalle de confiance de 0-28% indique une marge d’incertitude autour de la valeur de concordance de 0,08. Si cet intervalle de confiance inclut zéro (0) ou une plage de valeurs proche de zéro, cela suggère une incertitude importante et peut rendre la constatation de concordance non statistiquement significative.
Cependant, sans connaître les détails spécifiques de l’intervalle de confiance (par exemple, sa largeur exacte), il est difficile de tirer une conclusion définitive sur la signification statistique de la concordance. Une concordance de 0,08 semble relativement faible, mais l’évaluation de la signification statistique dépend de la taille de l’échantillon, de la méthodologie de l’étude et d’autres facteurs.
non car le risque est faible
si risque est élevé cela veut dire que c’est statistiquement significatif car ça permet de faire le lien qui sera facile a mettre en évidence et ça nous donnera une certitude sur les facteurs favorisant l’apparition du cancer
Le fait que le risque n’est pas nul, mais que la limite inférieure de l’intervalle de confiance soit à 0, ne permet pas de tirer une conclusion claire. S’il existe une relation, elle serait probablement faible et difficile à mettre en évidence dans ce type d’étude.
Si le risque n’est pas nul, cela indique que la relation n’est pas complètement écartée, mais en raison de l’incertitude, cela pourrait être faible ou difficile à détecter dans l’étude actuelle.
En d’autres termes, vous ne pouvez pas sûrement conclure qu’il y a un lien significatif, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’il n’y a pas de lien du tout. Dans l’interprétation des résultats, il est important de prendre en compte d’autres facteurs tels que la taille de l’échantillon, la méthodologie de l’étude et d’autres sources de biais possibles.
non il est pas statistiquement significatif
Non.
Le risque n’est statiquement significatif.
Si le risque n’est pas totalement exclu, l’observation que la borne inférieure de l’intervalle de confiance atteint 0 ne fournit pas une base concluante. En d’autres termes, en présence d’un éventuel lien, celui-ci pourrait être faible et complexe à démontrer dans le cadre de cette étude spécifique.
NON, il est difficile de répondre à cette question avec certitude sur la base des informations fournies (Manque d’informations sur plusieurs facteurs déterminants), mais en général, lorsque l’intervalle de confiance est large (0-28 %) et le fait qu’il inclut zéro indiquent que les résultats ne sont pas statistiquement significatifs. Cela signifie que les données ne permettent pas de conclure de manière fiable sur une association héréditaire forte ou significative.
Pour savoir si un risque est statistiquement significatif, il est super important de prendre en compte plusieurs éléments qui sont en lien avec la conception et l’analyse de l’étude épidémiologique. En général, la signification statistique dépend souvent de la taille de l’échantillon, de la puissance de l’étude, et des méthodes d’analyse qu’on utilise.
D’une part, une seule étude épidémiologique ne suffit pas vraiment pour dire avec certitude si un risque est significatif ou pas. En plus, il faut aussi évaluer la qualité de l’étude — ça inclut comment on mesure l’exposition et comment on contrôle la qualité des données. Il y a aussi des biais qui peuvent fausser les résultats, ce qui complique la conclusion sur la signification du risque observé.
Il est bon de se rappeler que même si on observe des risques relatifs, ça ne prouve pas forcément qu’il y a un lien de cause à effet. Des critères comme ceux de Bradford-Hill peuvent aider à vérifier la solidité d’une relation entre un facteur de risque et une maladie.
En tenant compte de tous ces éléments et en adoptant une approche critique, on peut dire que la question de savoir si un risque est statistiquement significatif ne peut pas être répondue simplement par un “oui” ou “non” sans faire une analyse rigoureuse des preuves qu’on a.
la reponse est non. tout depend des banques de données disponible a cet effet
il faut prendre compte les données statistiques disponibles. entre autre, il faut que l’’analyse statistique devra etre rigoureuse et c’est l’une des limites de certaines etudes en epidemiologies
ma reponse etait non.