Les Champlanais ne sont pas uniformément exposés aux nuisances : 5% des habitants près de la RN20 subissent des niveaux élevés de NO₂, tandis que 100% sont soumis au bruit des avions. La vulnérabilité dépend de facteurs individuels (projet de vie, stabilité socio-économique). L’étude sociologique révèle trois groupes : ceux ancrés dans le village (peu inquiets), ceux en transition (craintes modérées) et ceux en situation précaire (fortes inquiétudes). La capacité à "faire face" varie selon les ressources personnelles et la satisfaction résidentielle.