Les médias soulignent souvent le contraste entre l’image bucolique du village et son encerclement par des équipements polluants. Ils présentent Champlan comme un symbole de résistance citoyenne via le Comité de défense, mettant en lumière les études sanitaires et la mobilisation contre la station d’épuration. Cette narration médiatique oppose fréquemment le « Pré de Paris » idéalisé aux réalités d’un territoire sacrifié aux infrastructures régionales.