Les médias donnent souvent une image négative ou caricaturale de Champlan. On parle du « village où l’on refuse d’enterrer un bébé rom », ou d’une commune exposée à des nuisances sans réel projet d’avenir.
Cette image extérieure ne reflète pas la complexité vécue par les habitants. Elle renforce parfois un sentiment d’injustice ou de stigmatisation, surtout pour les personnes déjà fragilisées.
L’écart entre l’image médiatique et l’expérience locale peut aggraver le repli ou la méfiance, et rendre plus difficile la mobilisation pour des projets de santé ou de justice environnementale.