La DSENO est privilégiée à la DL50 car elle identifie la dose maximale sans effets nocifs observés, reflétant mieux les expositions réelles et chroniques que la DL50, qui mesure uniquement la dose létale aiguë (la dose causant la mort de 50 % d’une population animale dans des conditions expérimentales). En épidémiologie environnementale, l’objectif n’est pas de mesurer la mortalité, mais de prévenir les effets nocifs. La DSENO permet donc de prévenir des effets sublétaux et indésirables, et de mieux protéger la santé publique.