Ce paradigme correspond plus à la réalité notamment avec l’émergence de nombreuses substances chimiques y compris des perturbateurs endocriniens peuvent avoir des effets toxiques à des concentrations très faibles . Il y a aussi l’exposition à un mélange complexes de substances chimiques dans l’air , l’eau et aliments...
La non-linéarité de la courbe dose - réponse , la possibilité d’effets à faibles doses et la perturbations des systèmes hormonaux à des niveaux subtoxiques exigent une approche plus complexe de l’évaluation des risques .