L’évaluation des risques liés aux pesticides est critiquée pour ses lacunes, notamment dans le cas des SDHI. Malgré des études démontrant la toxicité de ces substances en bloquant la respiration cellulaire et induisant la mort cellulaire, les pesticides continuent d’être commercialisés. Les décideurs justifient cela en arguant qu’il n’y a pas suffisamment de preuves concluantes sur la précision du concept et du danger. Cette situation suscite des inquiétudes quant à l’indépendance de la science, suggérant qu’elle peut être influencée par les orientations politiques des décideurs.