Le cas des SDHI révèle plusieurs enjeux en toxicologie et en gestion des risques environnementaux :
Toxicologie générale : Il illustre les limites des évaluations actuelles, qui peuvent sous-estimer les effets chroniques et à faibles doses, notamment sur des cibles biologiques non envisagées (impact sur d’autres espèces que les champignons).
Toxicologie réglementaire : Il met en évidence la difficulté d’adapter les cadres réglementaires aux nouvelles découvertes scientifiques et les controverses entourant l’évaluation des preuves de toxicologie