La réduction drastique de la norme d’exposition au CV, par l’OSHA, est probablement une résultante des nouvelles données épidémiologiques et toxicologiques. En effet de nouveaux travaux démontrent l’effet cancérigène de CV, et confirme que le seuil de 500ppm ne permet pas de protéger les travailleurs. L’ancienne norme était basée sur des critère dépassés et des informations incomplètes ( n’ayant pas pris en considération les effet chroniques, ni les résultats des lésions hépatiques chez les lapins), et influencée par l’industrie chimique.