La diminution reflète donc une prise de conscience scientifique et une volonté de protéger la santé des travailleurs. L’ancienne norme de 500 ppm était établie sans une compréhension complète des risques réels. Des données internes de l’industrie dès 1959 montraient déjà des lésions hépatiques à 200 ppm. Les découvertes de cancers chez les ouvriers en 1974-1975 et les preuves scientifiques croissantes de la cancérogénicité du chlorure de vinyle ont conduit l’OSHA à réduire drastiquement la norme à 1 ppm, protégeant ainsi la santé des travailleurs.