Sur le fond cette fois, la raréfaction du bien A oriente la demande vers le bien B, même si ce dernier n’est pas forcément moins polluant que A (ce qui était l’hypothèse de départ) ; ne peut-on pas dire que l’épuisement de la ressource A déplace la demande vers tout autre bien qui n’est pas encore sujet à épuisement, même générant une pollution équivalente ou supérieure ?