Grâce à l’association de protection et aux élus, qui ce sont mobilisés suite au projet de station d’épuration et aux résultats très négatifs d’une étude d’airParif. Mais surtout au projet politique de la députée de circonscription, Nathalie Kosciusko Morizet, qui débutait sa carrière politique en environnement et qui entrepris de faire de Champlan un site pilote pour l’étude d’exposition à un cocktail de nuisances par différentes agences.