L’image que les médias diffusent de Champlan est basée sur une sorte de stigmatisation continue de la pollution. En effet, les médias divulguent que la ville est une décharge de polluants et l’endroit idéal d’études ciblant les anomalies environnementales.
C’est l’exemple que donne l’article paru sur le "24 Heures", du Samedi 22 Septembre 2007, sous titre "Pollution de l’air : des clichés mis à mal", ou encore celui sous titre " les lignes à très haute tension sont-elles dangereuses" paru sur le journal (Champlan centre d’études environnementales pour sa vocation de ville polluée). En outre, d’autres exemples seront intéressants à analyser, notamment l’article sur mcenvironnement, "enquête sur un si pollué petit village", invoquant les commentaires d’une participante à l’étude sur les lignes à haute tension (Champlan cumule tant de nuisances que le gouvernement y a lancé une étude, et les habitants jouent les cobayes verts).
Par contre, les Champlanais gardent plutôt une image positive de leur ville. Cela est du essentiellement au coût avantageux de l’immobilier (satisfaction du résidentiel) et du maintien de terrains boisés, parcs, jardins attenant aux maisons et terres agricoles. En effet, vivre à Champlan , pour les habitants, c’est un choix de vivre, permettant de bénéficier des avantages métropolitaines à moindre coûts et moins de pollutions possibles (par rapport aux communes voisines de Champlan).