Non
En utilisant des signes spécifiques d’une exposition individuelle grâce à des outils en épidémiologie moléculaire, on pourra repérer des personnes qui ne seraient pas identifiées uniquement par leur emplacement ou leur style de vie. Cela réduira le nombre d’erreurs où l’exposition réelle est présente mais n’est pas détectée, améliorant ainsi la sensibilité de la méthode.