Malgré des résultats suggérant fortement une association entre l’exposition au chlordécone et le cancer de la prostate, l’étude Karuprostate ne fournit pas une preuve formelle de causalité. Les arguments en faveur d’une causalité forte incluent la consistance des résultats, une relation dose-réponse et le contrôle des facteurs confondants. Cependant, des études complémentaires sont nécessaires pour étayer définitivement cette relation.