À mon avis, ce résumé met en évidence une toxicité non monotone:Les perturbateurs endocriniens ne sont pas entièrement linéaires et proportionnels à la dose. Le modèle de Paracelse, "c’est la dose qui fait le poison" ne s’applique pas ! C’est le moment et la durée de l’exposition qui créent le poison, et l’âge aussi.
J’ai trouvé que l’effet sur l’âge auquel la puberté a commencé, à faible dose, était très évident, mais à forte dose, il n’y avait rien de spécial. Cela réduit certains des processus et le plus importants à maintenir ; ce n’est probablement pas la dose, mais par contre c’est la fenêtre de sensibilité.
Cette étude est une preuve factuelle.
En effet la fenêtre de sensibilité nous indique alors que le processus d’évolution de la vie comporte nombreuses étapes ; Chacune a ses caractéristiques de sensibilité spécifiques. Elle ne doit pas se limiter à la période périnatale ou in-utero, mais la puberté fait aussi partie intégrante de cet évolution.