Cette étude indique des associations entre l’exposition prénatale aux PFAS et des changements dans le développement pubertaire, avec des effets différents selon le sexe. Ces résultats soulignent l’importance de comprendre les impacts potentiels des PFAS sur la santé reproductive et le développement des enfants.
Cette étude souligne également les préoccupations liées à l’impact des perturbateurs endocriniens sur le développement pubertaire, en mettant en avant la complexité des résultats d’études et en soulignant la non-monotonie des associations entre les doses de polluants et les troubles pubertaires. Il insiste également sur le fait que même des changements apparemment mineurs dans le déclenchement de la puberté pourraient avoir des implications importantes pour la santé et la démographie à long terme.