Les récepteurs aux xénobiotiques ne sont pas toujours caractérisés de spécificité d’organe ; au contraire, normalement, ils sont plutôt ubiquitaires.
L’activation du xénobiotiques effectuée par des groupes enzymatiques n’est pas systématique : elle peut, parfois, être nécessaire, afin qu’il puisse manifester ou augmenter sa toxicité, souvent en passant par le foie, qui est l’organe le plus riche d’enzyme de la phase I.