Les trois raisons principales semblent être les suivantes :
1) les coûts notamment en matière de santé publique ont été réévalués, la "valeur" statistique de la vie humaine est bien plus élevée, prenant en compte non plus seulement la mortalité la valorisation du capital humain mais également sur la réduction de l’espérance de vie et la morbidité
2)Désormais l’étude de 1998 prend en compte non seulement la mortalité aigue mais également aussi la mortalité chronique (temporalité), ce qui se reflète aussi dans la valorisation des effets pour le cancer
3)les coûts externes de la tonne du CO2 sont largement supérieurs dus à un nouveau calcul prenant en compte la valeur de la vie humaine et le taux d’actualisation