On sous-estime le coût externe global si on ne tient pas compte des gaz à effet de serre de la production de l’électricité nucléaire et du gaz. Dans le cas de l’énergie éolienne et de l’hydroélectricité, les prix sont sous-estimés si l’on ne prend pas en considération les atteintes au milieu naturel. Le coût externe global est surestimé si le prix du CO2 augmente à cause la mortalité anticipée résultant d’un réchauffement climatique