Avant même les années 1960, l’industrie soucieuse de son rendement économique à ignorer et à dissimuler les effets sanitaires liés à l’exposition à 500 ppm. D’ailleurs elle avait même des preuves qu’une exposition répétée à 200ppm révélait des micro-légions hépatite chez les lapins.
Cependant, le passage de 500ppm à 1 ppm dans les années 1975 fait suite à la découverte des effets sanitaires par la presse et le public avec le décès de trois ouvriers de l’usine B.F. Goodrich de Luisville et des animaux de Maltoni atteints d’angiosarcomes hépatiques.