Avant les années 70, les données disponibles sur la toxicité du CV sont rares. On suppose que l’industrie était à l’origine de la norme de 500 ppm, avalisée par l’OSHA. A partir du moment ou des premiers tests confirment la cancérogénicité du CV, on découvre que le produit est toxique, même aux doses faibles. D’où une réduction drastique de la norme d’exposition, appuyée sur les études réalisées.