L’exemple type de barrière à la diffusion de xénobiotiques dans un organe est représenté par la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau.
L’exemple type de barrière à la diffusion de xénobiotiques dans un organe est représenté par la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau.
La capacité de diffusion d’un xénobiotique dépend de sa polarité, de sa liposolubilité et de son poids moléculaire. Les membranes biologiques étant onstitué essentiellement d’une bi-couche phospholipidique, les substances lipophiles diffusent plus facilement mais la succession de membranes cellulaires à traverser représente le principal obstacle à la diffusion et donc à atteindre certains tissus et organes. C’est ainsi que beaucoup de susbances n’arrivent pas à atteindre le cerveau en raison de la barrière hémato-méningée.
oui aux barrières spéciales qui protège certains organes comme la taille des pores, la nature de la membrane cellulaire( bicouche lipidique qui ne laisse passer que les molécules liposolubles, le tissu épithélial qui possèdent des cellules qui participent aux défenses de l’organisme.
oui aux barrières spéciales qui protège certains organes comme la taille des pores, la nature de la membrane cellulaire( bicouche lipidique qui ne laisse passer que les molécules liposolubles, le tissu épithélial qui possèdent des cellules qui participent aux défenses de l’organisme.
Ces barrières tant qu’elles ne sont pas franchies, les substances inhalées et ingérées sont toujours dans le mileiu exterieure
Les barrières se situent après le stade de l’absorption. Le xénobiotique est déjà en circulation (milieu intérieur).
l’existence de barrière comme la BHE protège le cerveau de beaucoup de toxiques même si certains peuvent la traverser et exercer un effet neurotoxique
Des tissus épithéliaux protégeant certains organes peuvent s’opposer ou limiter la diffusion de xénobiotiques. De ce fait, l’étendue de la toxicité se trouve réduite contrairement à d’autres organes dans les mêmes conditions
La réponse est oui, la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau represente le xénobiotique à la diffusion.
Les barrières spéciales constituent un obstacle qui oppose le franchissement des membranes biologiques des organes à tout élément à l’exception de ceux nécessaires à la survie.
La réponse est oui, la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau represente le xénobiotique à la diffusion.
Les barrières anatomiques présentes dans l’organisme exercent leur rôle de protection des certains organes vers les xénobiotiques potentiellement toxiques. Il s’agit d’un exemple de spécificité d’organe : les barrières hémato- encéphalique, hémato-testiculaire et glomérulaire sélectionnent le passage des substances, selon leurs propriétés.
Il est possible que certaines molécules arrivent à les franchir : le plomb, par exemple, peut traverser la barrière hémato- encéphalique et exercer sa toxicité à niveau du système nerveux central.
Oui car plus un organe est protégé plus le xénobiotique aura des difficultés à pénétrer et s’accumuler dans cet organe et inversement.
Oui car l’existence de barrières spéciales qui protègent certains organes "influe" sur l’étendue de la toxicité d’un organe à l’autre.
type de barrière comme barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau contre les substances néfastes.
Oui, l’existence de barrière spéciales peut faire varier la toxicité
Les barrières qui protègent certains organes sont les enzymes de la phase 3 et au niveau du cerveau c’est la barrière hémato-céphalique
Oui, s’il y a des barrières "naturelles", l’organe sera moins sensible.
c’est l’exemple de barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau.
Oui, les différences de l’étendue de la toxicité d’un organe à l’autre peuvent être dues à l’existence de barrières spéciales telle que la barrière hémato-encéphalique (protection physiologique du cerveau contre les substances néfastes).
Evidemment la diffusion de xénobiotiques dans un organe nécessite souvent l’opposition d’une barrière qui est en concordance avec le cas présent dont l’exemple qui s’en suit est la barrière céphalitique qui protège le cerveau dans le système nerveux.
La barrière hémato-encéphalique protège le cerveau des agents pathogènes, des toxines et des hormones circulant dans le sang. Elle représente un filtre extrêmement sélectif, à travers lequel les aliments nécessaires au cerveau sont transmis, et les déchets sont éliminés.
L’exemple type de barrière à la diffusion de xénobiotiques dans un organe est représenté par la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau
La barrière qui protège le cerveau empéche l’épandage d’un xénobiotique
Oui il existe des barrières à la diffusion de xénobiotiques au niveau de notre organisme exemple celles de l’hémato-céphalique qui protège notre système nerveux central.....
Oui,par exemple,beaucoup de substance n’arrivent pas à atteindre le cerveau en raison de la barrière hémato-méningée.
Plusieurs paramètres gèrent le temps de transit et les passages de la substance dans les divers organes. Certains organes disposent de fonction de biotransformation ce qui leur confère un pouvoir de transformation de la substance d’où la différence de l’étendue de la toxicité à un autre organe à autre avec une autre population cellulaire qui peut la rendre plus vulnérable.
Ou peuvent nécessiter :
La barrière hémato-encéphalique protège le cerveau contre les substances néfastes mais aussi les tissus comme la barrière épithéliale.
L’organisme possède des barrières empêchant la pénétration de certains groupes de toxiques, surtout hydrophiles, dans des organes et des tissus :
• la barrière hémato-encéphalique (barrière cérébro-spinale), qui restreint la pénétration de molécules de poids moléculaire élevé et celle de toxiques hydrophiles dans le cerveau et le SNC ; cette barrière est constituée d’une couche de cellules endothéliales étroitement soudées que les toxiques lipophiles sont les seuls à pouvoir traverser ;
• la barrière placentaire, qui a un effet comparable sur la pénétration des toxiques du sang maternel vers le fœtus ;
• la barrière histo-hématologique dans les parois des capillaires, perméable aux molécules de petite taille et de taille intermédiaire ainsi qu’à certaines grosses molécules et aux ions.
Les vaisseaux sanguins au niveau du cerveau, des testicules et du placenta présentent des structures anatomiques spéciales empêchant le passage des grosses molécules telles que les protéines. Ces structures, souvent appelées barrières hémato-méningée, testiculaire et placentaire, peuvent donner l’impression erronée qu’elles empêchent le passage de toute substance quand elles ont en fait peu d’importance, voire aucune, pour les xénobiotiques qui peuvent diffuser à travers les membranes cellulaires.
Certains organes disposent de structure propres qui limitent la diffusion des xénobiotiques .comme les barrières hémo-encéphalique avec des cellules endothéliales très serrés.
comme la barrière hémato-céphalique qui protège le cerveau de beaucoup de toxiques représente la xénobiotique à la diffusion.
Si l’organe en question n’est pas suffisamment irrigué par de barrières spéciales de certains organes c’est normal que les organes n’aient pas les mêmes toxicités.
oui aux barrières spéciales qui protège certains types d’organe.
Car tant que ces barrières ne sont pas dépassées les xenobiotiques ingérées/ inhalées restent dans le milieu extérieur.