Les récepteurs aux xénobiotiques ont un spectre d’expression tissulaire assez large. Quant aux enzymes, leur intervention peut dans certains cas être nécessaire. C’est cependant loin d’être une condition suffisante.
Ou peuvent nécessiter :
Les récepteurs aux xénobiotiques ont un spectre d’expression tissulaire assez large. Quant aux enzymes, leur intervention peut dans certains cas être nécessaire. C’est cependant loin d’être une condition suffisante.
J’ai repondu par oui à cette question parce qu’il y’a imperativement une relation entre la presence de recepteur pour certains xenobiotiques et la toxicite de ces derniers.Meme si la cellule garde le meme recepteur quelque soit sa localisation dans un organisme, il va s’en dire que nous n’avions pas le meme type cellulaire dans tous les organes.Par consequent, un organe quelconque peut subir plus ou moins dedommages en fonction du type cellulaire et donc en fonction de la presence de recepteurs.
la présence de récepteurs à un xénobiotique sur un organe à mon avis rend cet organe plus sensible à ce xenobiotique. bien que la sensibilité n’est pas directement liée à la toxicité.
oui les recepteurs et les enzymes des cellules du tissu épithélial participent aux processus de détoxification, absorption .
oui les recepteurs et les enzymes des cellules du tissu épithéliale participent aux processus de détoxification, absorption .
Les enzymes ont en effet un pouvoir de biotransformation
Certaines familles d’enzymes participent à la biotransformation. D’autres assurent toute une série de fonctions pour la cellule. Elles peuvent être “empoisonnées” par les xénobiotiques.
l’exemple c’est le cas des organes cibles qui peuvent avoir des récepteurs spécifiques au toxique en question
la toxicité d’un xénobiotique dépend de sa capacité à se lier sur des récepteurs spécifiques et l’activation des enzymes des phases I et II. Ce qui va influer sur l’étendue des effets toxiques.
La réponse est non
Les enzymes spécifiques sont responsables de l’introduction de groupes qui confèrent aux molécules lipophiles un certaine hydrophylicité favorisant la phase II
oui les recepteurs et les enzymes des cellules du tissu épithélial participent aux processus de détoxification, absorption .
Les récepteurs aux xénobiotiques ne sont pas toujours caractérisés de spécificité d’organe ; au contraire, normalement, ils sont plutôt ubiquitaires.
L’activation du xénobiotiques effectuée par des groupes enzymatiques n’est pas systématique : elle peut, parfois, être nécessaire, afin qu’il puisse manifester ou augmenter sa toxicité, souvent en passant par le foie, qui est l’organe le plus riche d’enzyme de la phase I.
Non car plusieurs récepteurs et enzymes peuvent se retrouver dans plusieurs organes.
Non car des récepteurs et/ou enzymes similaires peuvent être présents au niveau de différents organes.
elle nécessite aussi des enzymes.Et ces enzymes catalysent le transfert vers les sites accepteurs de ces xénobiotiques.
à l’absence de récepteur ou enzyme spécifique, fait que les xénobiotiques atteint facilement les organes.
Les récepteurs ont une fonction très large. Quand aux enzymes ils agissent soit par transformation, élimination si cela est nécessaire si cela est nécessaire.
oui ils peuvent être nécessaires
Les récepteurs ont une fonction très large. Quand aux enzymes ils agissent soit par transformation, élimination si cela est nécessaire.
Oui, mais les récepteurs et/ou les enzymes spécifiques (comme les protéines plasmatiques) auxquels sont liés les xénobiotiques empêchent leur diffusion. C’est plutôt les formes libres de xénobiotiques qui diffusent facilement d’un organe à un autre.
Les récepteurs aux xénobiotiques est au niveau tissulaire et nécessaire Quant aux enzymes, leur intervention est plus ou moins utile selon les cas. C’est cependant loin d’être une condition satisfaisante.
les enzymes spécifiques participent à la biotransformation et à la détoxification. Quant aux récepteurs, ils participent à l’élimination des xénobiotiques et aux métabolismes des stéroïdes.
L’horizon d’expression tissulaire de récepteurs est très vaste.La nécessité d’intervention des enzymes est établie même si elle n’est pas suffisante
Oui il y a aussi des récepteurs et des enzymes qui rentrent en ligne de mire pour nous défendre dès présence de la moindre substance étrangère dans notre corps.
Oui car après absorption,les xénobiotiques subissent une série de transformation dite METABOLISME cas du foie qui est l’organe plus riche en enzymes spécialisés pouvant participer aux processus de détoxification,absorption mais aussi qu a un pouvoir de bio transformation
La concentration d’enzymes peut également conférer une capacité de biotransformation et de récepteur d’assimilation de la substance qui peut bien entendu avoir un impact sur l’étendue de la toxicité de la substance.
Sont qualifiés d’organes cibles :
Les récepteurs aux xénobiotiques ont une capacité de transmettre au niveau tissulaire. Concernant les enzymes, ils n’ont pas un grand champ d’action important.
Etant donné que quelques substances constituent des polluants usuels, rappelons que les mêmes voies métaboliques sont activées par certaines drogues, dont certains anticancéreux, qui deviennent actifs après passage par le foie. Nous avons vu que les enzymes de la phase I (cytochromes P450) sont induits par AhR, suite à la fixation d’un ligand. Il en est de même après activation d’autres récepteurs nucléaires orphelins dont les ligands sont des stéroïdes :
Le récepteur à l’androstane constitutif (CAR),
Le récepteur X au pregnane (PXR),
Tous les deux sont capables de former des hétérodimères avec le récepteur X de l’acide rétinoïque (RXR). Les gènes CYP2B ou CYP3A sont ainsi activés après fixation de drogues de type phénobarbital ou des corticostéroïdes.
Les enzymes de la phase II sont généralement induits par des composés différents, électrophiles ou nucléophiles, ce qui correspond à l’action des enzymes en question qui catalysent le transfert de divers groupements (UDP-glucuronosyl, glutathion, sulfate, N-acetyl) sur les sites accepteurs de ces xénobiotiques. Les composés phénoliques ou les isothiocyanates induisent les gènes de la phase II. Quant aux enzymes de la phase III, il s’agit de transporteurs qui participent à l’élimination des xénobiotiques modifiés ou conjugués par les enzymes des phases précédentes. Il y a donc mise en place d’une action coordonnée de différents systèmes, activés en réponse au stress que représente la perception des xénobiotiques, dans le but de protéger l’organisme par rapport à ces atteintes "environnementales”.
Un tel exemple de coordination est fourni par le PXR qui régule à la fois les enzymes des phases I et II, ainsi que des transporteurs comme MDR1 (multi-drug resistance) en réponse à des composés variés, comme des perturbateurs endocriniens ou le taxol (un dérivé naturel utilisé comme anticancéreux).On cite :
Les enzymes métabolisant les xénobiotiques
Le cytochrome P450
Les enzymes P450 métabolisant les xénobiotiques
Les enzymes P450 intervenant dans le métabolisme des produits exogènes et des médicaments sont presque toujours présentes dans les familles CYP1, CYP2, CYP3 et CYP4
La sous-famille CYP1A
La sous-famille CYP1A comprend deux enzymes chez l’humain et tous les autres mammifères. Ces enzymes, appelées CYP1A1 et CYP1A2 dans la nomenclature officielle ;On cite : CYP2C19, CYP2D6 (Le CYP2E1,La sous-famille CYP3A ; Les polymorphismes autres que le P450 ; Le polymorphisme du gène GSTM1
La liaison à des transporteurs est un facteur qui détermine la demi-vie et le seuil de toxicité du xénobiotique.un premier ensemble de récepteurs ayant pour fonction l’adaptation de l’organisme à l’afflux de xénobiotiques et dont l’activation est responsable de l’induction des systèmes enzymatiques d’élimination des xénobiotiques et un deuxième ensemble qui regroupe des récepteurs des composés endogènes comme les récepteurs hormonaux qui sont néanmoins susceptibles d’être modulés par des polluants comme les pesticides
Les récepteurs et enzymes similaires peuvent être présents au niveau des différents organes.
La présence de récepteur et/ou d’enzyme spécifiques va jouer un grand rôle.
Oui, car il y’a forcement un lien entre la présence de récepteur pour certains types de xenobiotiques et la toxicité de ces derniers.