Même si l’accessibilité d’un organe est une condition nécessaire elle n’est nullement suffisante, car l’opportunité d’exercer l’action toxique dépend d’autres paramètres (durée, d’exposition, biotransformation, expression des récepteurs).
Sont qualifiés d’organes cibles :
Même si l’accessibilité d’un organe est une condition nécessaire elle n’est nullement suffisante, car l’opportunité d’exercer l’action toxique dépend d’autres paramètres (durée, d’exposition, biotransformation, expression des récepteurs).
faux pas l’organe dans lequel se distribue le xénobiotique car à partir de la voie d’entrée le xénobiotique va traverser les barrières physiologiques pour atteindre l’organe cible ,
faux pas l’organe dans lequel se distribue le xénobiotique car à partir de la voie d’entrée le xénobiotique va traverser les barrières physiologiques pour atteindre l’organe cible ,
c’est le cas des tissus adipeux où se distribuent les toxiques lipophiles
c’est le cas des tissus adipeux où se distribuent les toxiques lipophiles
des xénobiotiques peuvent diffuser à travers des organes sans pour autant entraîner des effets nocifs soit à cause d’une distribution rapide, soit à cause d’une absence de récepteurs spécifiques. De tels organes ne peuvent être considérés comme des cibles du xénobiotique.
non, L`opportunité d`exercer l`action toxique dépendra de durée, de biotransformation, d`exposition et d`expression des récepteurs, si bien que la condition d`un organe est l`accessibilité.
La distribution permet le passage à travers différents compartiments
Les organes cible sont ceux où le xénobiotique exerce son activité, pas seulement où il se distribue. Il est fondamental de considérer, à ce propos, plusieurs paramètres qui influencent nécessairement son action, tels quels la voie et la durée d’exposition, l’absorption, la distribution, le métabolisme (éventuelle biotransformation enzymatique) et la présence de récepteurs avec un degré de spécificité plus ou moins marqué pour le xénobiotique qui fait l’objet de l’étude.
Non car un xénobiotique n’est pas nécessairement nocif pour un organe donné. Il peut être distribué sans nécessairement causer des effets délétères.
Non, car la distribution n’est pas le seul critère. D’autres paramètres interviennent comme la durée d’exposition, la biotransformation, etc
la toxicité dépend de la durée d’exposition,biotransformation ainsi les récepteurs.
certains xénobiotiques sont spécifiques à des organes précis.
C’est pas parce que un organe est soumis à un xénobioique qu’il constitue un organe cible. Cela est fonction de la nature de l’exposition, de la durée, de la concentration, de la biotransformation et d la réaction des récepteurs
C’est pas parce que un organe est soumis à un xénobioique qu’il constitue un organe cible. Cela est fonction de la nature de l’exposition, de la durée, de la concentration, de la biotransformation et d la réaction des récepteurs.
Pas uniquement, ce sont les organes où le xénobiotique exprime sa toxicité
accessibilité d’un organe est une condition nécessaire mais pas suffisante car l’opportunité d’exercer l’action toxique dépend de : la durée d’exposition, la biotransformation, l’expression des récepteurs.
Non, ce sont plutôt les organes dans lesquels le xénobiotique se fixe pour éventuellement marquer son action de toxicité qui dépend de la dose, de la biotransformation et de la spécificité des récepteurs.
Non car l’opportunité d’exercer l’action toxique dépend d’autre facteurs (durée, d’exposition, bio-transformation, des récepteurs).
La distribution est un processus qui permet au xénobiotique de franchir plusieurs obstacles, y compris les cellules et leurs membranes atteindre le site (organe cible) où elle exercera sa toxicité. Le xénobiotique peut atteindre un organe lors de la diffusion sans pour autant exercer un effet toxique. L’effet toxique est lié à la dose, à la voie d’absorption, au type et à la gravité des lésions ainsi qu’au temps nécessaire à l’apparition d’une lésion.
La distribution des xénobiotiques favorisée par la circulation sanguine dans les organes où ils exercent leur toxicité,ils sont stockés ou sont éliminés. DeuLa perfusion sanguine des organes, l’affinité des xénobiotiques et les proteines plasmatiques constituent un impact important
Le toxique s’exerce en tenant compte de la durée, de l’exposition, de la biotransformation
Non. Pour qu’une substance produit ses effets toxiques sur notre corps, il y a beaucoup de paramètres et de facteurs biologiques qui rentrent en interaction : exemples celui du temps d’exposition, des doses administrées, de la variabilité humaine et des vulnérabilités des sujets considérés
La distribution est fortement influencé par la liaison du xénobiotique à des transporteurs plasmatiques. Notons que ce xénobiotique peut être distribué sans nécessairement causer des effets nuisibles.
Bien que tous les compartiments d’une cellule puisse communiquer en eux, seul le plasma sanguin a la capacité de distribué le xénobiotiques dans l’organisme, et c’est ensuite à travers le liquide interstitiel ou la membrane cellulaire que le xénobiotiques de distribuent dans les autres organes et les organes distants.
La distribution n’est pas la seule condition. Il faut prendre en considération d’autres paramètres qui rentrent en ligne de compte comme l’exposition,la biotransformation, les récepteurs
Les organes dans lesquels se distribuent les xénobiotiques sont :
Le foie, les reins, les poumons, le cerveau, la peau, les yeux, le cœur, les testicules et les ovaires
Distribués dans différents tissus et organes de manière active ou passive. Des différences existent selon la nature de la barrière à franchir (peau, poumon, paroi intestinale…) et la taille des molécules, les petites molécules pouvant franchir une ou plusieurs membranes de manière passive. Les substances lipophiles peuvent plus facilement traverser une membrane dont les constituants sont des lipides alors que les substances ionisées seront arrêtées sauf au niveau des pores membranaires pour les plus petites molécules.
car un organe est soumis à un xénobioique qu’il constitue un organe cible dépend de la dose, la durée d’exposition, la biotransformation et de la spécificité des récepteurs.
Les organes dans lesquels se distribuent les xénobiotiques ne sont pas qualifiés d’organes cibles car il faut d’autres éléments comme le facteur temps, exposition,…
Non, car grâce à la voie d’entrée le xénobiotique peut traverser les barrières physiologiques jusqu’à l’organe cible